Voyage du 18 au 26 novembre 2016
dans le Sud Baroque de la Sicile
La Sicile est la plus grande île italienne, alors nous resterons dans la région située à la pointe sud-est de l’île, la Sicile baroque qui s’étend autour de Raguse et Syracuse.
Arrivée à l’aéroport de Catane … sous la pluie
La Sicile est une terre antique, riche d’une série de sites archéologiques uniques en leur genre, de plages ensoleillées (même si nous avons eu quelques averses)
Récupération de la voiture de location, et direction Sampieri, au sud de la Sicile.
Arrivée de nuit et toujours sous la pluie à notre résidence Marsa Cicla
Notre Résidence
Installation dans un grand appartement, avec balcons, terrasse … et chats
Diner à la pizzeria Algalcone, à 2km sur la commune de Sampieri. Très bien et très bonnes pizza.. Soirée Karaoké !
Soleil le lendemain matin, ouf !
Plus d’info sur la résidence:
⇒ Marsa Sicla
Nos Visites:
Sampieri
Petit village de pécheurs, avec son boulanger! (et oui, peut être le seul commerce ouvert dans le village…)
La plage de Sampieri est une bande de sable fin doré baignée par une mer limpide ou nous profitons pour faire une belle balade le long de cette cote.
Modica
La ville basse dans le lit de 2 torrents, et la ville haute agrippée sur les flancs d’un éperon rocheux : La vieille ville de Modica comprend de nombreuses églises baroques.
Une des spécialités de cette ville: le chocolat, un fondant légèrement granuleux (cacao, sucre et épices)
Magnifique cadre, à 22 km de la mer.
Marina di Modica
Petit bourg en bord de mer, dépendant de Modica.
Village côtier, situé entre Sampieri et Pozzallo, à la pointe Sud de la Sicile, à 15mn de Modica
Belles promenades le long du rivage. Cette plage du bourg forme une grande baie de sable fin blanc, entourée de nombreuses dunes. Beaux couchers de soleil.
Ragusa et Ibla
Ragusa Nuevo et Ragusa Ibla (80 m plus bas) sont les 2 quartiers d’une même ville, séparés l’un de l’autre par un profond ravin appelé le Valle dei Ponti, reliés par un long escalier de 340 marches.
Nous garons la voiture tout en haut de Ragusa Nuova, (la ville nouvelle) pour découvrir cet ensemble qui nous offre un beau point de vue sur la partie « Ibla », qui regroupe la majorité des églises et palais.
Ces 2 cités, longtemps ennemies, toutes les 2 reconstruites après le tremblement de terre de 1693 (encore lui), valent le déplacement.
D ’un côté, l’ancienne noblesse choisit de rebâtir Ibla, l’antique cité, sur son plan initial au bord de l’éperon rocheux.
De l’autre côté, la nouvelle noblesse et la bourgeoisie veulent reconstruire une ville moderne, avec plus d’espace, en surplomb de l’ancienne ville: Ragusa Nuova (Ragusa Superiore). Les 2 villes se méprisent jusqu’en 1926, date de la réunification.
Mais, ceci dit, après le passage devant la Cathédrale San Giovanni, puis de La Poste, nous suivons une longue succession de marches, qui réunit Ragusa Nuova à Ragusa Ibla (la seule voie de communication à pied). Commence alors la longue descente vers Ibla, aux vieilles maisons défraîchies, en empruntant ce grand escalier de Santa Maria delle Scale qui serpente depuis la ville haute jusqu’au cœur de Ragusa Ibla.
Au détour des ruelles, vue sur le toit de l’Eglise Santa Maria Dell’Idria et ses décorations en faïence de Caltagirone.
Nous marchons dans le dédale de ruelles de Ragusa Ibla, en essayant de découvrir un maximum de cette cité qui nous en met plein les yeux à chaque nouveau pas: petits jardins privés, ruelles fleuries, façades défraîchies, palais baroques. A n’en plus finir. Magnifique portail gothique de San Giorgio Vecchio; le saint patron de la ville Ragussa-Ibla est Saint Georges, San Giorgio.
Chiesa del Purgatorio: érigée en 1658, cette église du Purgatoire a survécu au tremblement de terre dévastateur de 1693.
Arrêt devant la piazza Odierna .. « vive la mariée ! »
Le ravissant clocher de l’église San Vincenzo Ferri est recouvert de majoliques.
Puis petite attraction avec les scouts de la ville… Nous poursuivons notre promenade au hasard des rues de Ibla,
De retour sur Ragusa, nous sommes coursés jusqu’à la voiture par la pluie !
Noto
Bijoux le plus précieux de l’art baroque sicilien, encastré dans la vallée de l’Asinaro.
Noto domine cette vallée avec ses plantations d’agrumes.
Très belle entrée dans la ville par la « Porta Reale (ou Ferdinandea) » en forme d’arc de triomphe.
Très beaux palais, églises et couvents aux couleurs de la pierre locale. La ville fut bâtie entièrement dans cette pierre calcaire qui, en vieillissant, lui confère ses subtiles couleurs dorées et ont valu à Noto le surnom de « Jardin de pierre ».
Merveilleuse Basilique Cathédrale de San Nicolo, avec des fresques et vitraux magnifiques, sa dernière reconstruction date de 1996. Il s’agit de la cathédrale du diocèse de Noto sur la « Piazza del Municipio ».
Nous avons loupé la surprenante salle des miroirs de l’hôtel de ville (monument symbole de Noto)
Réserve naturelle de Viendicari
Créé en 1984, la réserve de Viendicari abrite une flore et une faune très diversifiées. Des milliers d’oiseaux migrateurs passent quelques jours ici, sur leur chemin vers ou depuis l’Afrique.
La faune est très riche en oiseaux et varie selon la saison. Des milliers d’oiseaux migratoires de régions différentes aiment en effet passer par ici avant de rejoindre les côtes africaines. Arrivés en fin de matinée, nous ne pouvons observer les flamants roses, déjà « cachés »!
La réserve est très jolie. Notre première halte, à quelques minutes de l’entrée, est le passage dans les cabanes aménagées pour faciliter l’observation des oiseaux.
Puis, nous découvrons une magnifique plage, une mer d’un bleu translucide. Vendicari est un mélange de lagunes (pantano), de dunes de sable, de côtes rocheuses et de plages de sable.
Nous continuons notre balade au milieu des étangs abritant de nombreux espèces d’oiseaux et prolongeons notre exploration de la réserve en suivant les sentiers qui longent la falaise dans des paysages splendides, le long d’un sentier de bord de mer facile : Superbe petite randonnée
Bâtiment côtier bien réhabilité.
Petit coin de paradis: on profite pleinement de la vue qui s’offre à nous
La réserve naturelle de Viendicari comporte par ailleurs toute une rangée de bâtiments, dont une tour du XVème siècle construite par Pierre d’Aragon (connu sous le nom Torre Sveva), les vestiges de l’ancienne tonnerie (une tonnara pour la pêche au thon).
Non loin de la tour se trouve la madrague de Vendicari, un monument en ruine dont la cheminée reste encore en bon état, ainsi que plusieurs vieilles maisons de pêcheurs.
Les salines de Vendicari eurent une importance dans l’économie de la région pendant longtemps et furent très certainement utilisées par la madrague pour la conservation du poisson. Les premières constructions datent du XVème siècle et aujourd’hui les seuls vestiges restants se trouvent dans le marais.
Chose étonnante, l’entrée à cette réserve naturelle de Viendicari est gratuite.
Portopalo di Capo Passero
Il s’agit de la commune la plus méridionale de la Sicile continentale.
Portopalo di Capo Passero: un endroit magique avec des airs de bout du monde… Très bien pour notre pic nic.
Retour à la maison en passant par Pachino.
Passage à coté de la ville de Pachino.
Région de Pachino: avec de nombreuses cultures en serres.
Très connue pour la culture de la tomate, que nous pouvons acheter partout dans la région. A perte de vue la région est couverte de serres et de cultures.
Syracuse et sa presqu’île Ortigie
Le centre historique de Syracuse est basé sur une île, l’île d’Ortygie.
On se gare facilement sur un grand parking près du port avec de nombreuses places disponibles.
Nous sommes à moins de 5mn à pied du pont qui relie Syracuse à l’île d’Ortygie (Ortegia)
Passage sur le marché, admirant les étals de fruits et de légumes bien frais, les poissonniers et leurs grosses têtes de poissons …
Puis, nous remontons le Corso Mateotti jusqu’à la Piazza Archimede, par une avenue très passante. Nous y resterons pour le déjeuner face à la fontaine d’Artemis. Fontaine consacrée à Artémis la Déesse de la chasse, entourée de ses nymphes et sirènes, et qui est encadrée de nombreux palais.
Nous poursuivons la partie historique d’Ortygie, la plus belle, la plus magique.
Nous arrivons finalement sur la Piazza del Duomo, sublime place allongée, bordée de magnifiques palazzi étincelants, récemment rénovés, et son splendide Duomo, l’ancien temple d’Athena transformé en église. Autour de la place, le palazzo del Senato, le Palazzo Beneventano del Bosco, le palais de l’archevêché et l’église (Chiesa) Santa Lucia.
Le tout forme un ensemble très cohérent.
Belle averse sur cette cité lors de notre visite …. Mais cela nous a permis de voir un superbe arc en ciel.
Nous flânons aussi le nez en l’air dans les petites ruelles en admirant les palazzi, plus ou moins décrépis, plus ou moins restaurés.
Puis nous découvrons les paysages magnifiques d’une eau turquoise bordant les rochers et les remparts de la ville.
L‘île d’Ortygie est une sorte de musée vivant où toutes les époques «grecque», «normande», «aragonaise» et «baroque» s’entremêlent. Magnifique!
Autre point historique sur l’île: On y trouve une autre fontaine sacrée appelée Aréthuse en souvenir de la Néréide transformée à sa demande en fontaine pour échapper à un soupirant trop empressé, le dieu du fleuve Alphée (6ème photo du groupe ci dessus)
Aréthuse est une des belles et nombreuses filles de Nérée qui devint une suivante du cortège d’Artémis. Tout comme la déesse, elle ne recherchait pas la compagnie des hommes mais elle aimait avec passion la chasse et la vie libre en forêt.(déesse de la chasse)
⇒ Enfin c’est une des légendes connues … il en existe bien d’autres.
Syracuse: Rien à voir avec Ortygie, Syracuse est un peu vieillot et défraîchi, Ortygie est superbe et mérite vraiment que l’on s’intéresse à elle.
Balade tout de même vers le stade, puis visite du moderne Sanctuaire: Notre Dame des larmes (Madonna delle lacrime). C’est le sanctuaire le plus récent de la Sicile, mais aussi l’un des plus fréquenté, et on y vient du monde entier.
Origine de ce sanctuaire: Un bas relief de plâtre peint, représentant la Vierge Marie, était dans une humble maison, à la tête du lit des époux Lannuso. Du 29 août 1953 au 1° septembre 1953, le cadre en céramique à répandu des larmes, qui ont été analysées. L’épiscopat de la Sicile a mené une enquête qui s’est montrée positive, il a reconnu l’origine surnaturelle du phénomène et a promu le culte.
Fut alors entrepris la construction d’un grand sanctuaire Notre Dame des larmes.
Cette rotonde fut construite de 1966 à 1994, avec des dimensions imposantes : 90 mètres de largeur et presque autant de hauteur. Il s’agit d’un site important dans le paysage de la ville. La forme de la vertigineuse coupole évoque d’une part, une larme qui coule, d’autre part un chapiteau qui abrite les pèlerins.
L’édifice comprend un lieu de culte, le sanctuaire, au niveau supérieur, et un deuxième niveau, souterrain, la crypte. Musée à l’intérieur fort intéressant.
Au retour, passage par le Parc Archéologique de Syracuse.
Ispica
Ispica est une ville sur la colline du côté Sud-Est de l’île de la Sicile, une ville archéologique, à environ 200 mètres au-dessus du niveau de la mer et 6km de la côte.
La ville d’Ispica domine la mer depuis les hauteurs,
Ce village nous offre des églises et des palais baroques à chaque coin de rue .
Très joli hôtel de ville, face à la place d’Italie
Les édifices baroques les plus importants d´Ispica sont les églises de Santa Maria Maggiore, Annunziata et San Bartolomeo, nichés dans la ville..
Parmi les Eglises, la plus prestigieuse est l’Eglise de Santa Maria Maggiore, XVIIIème siècle, qui s’élève sur la place homonyme dont la façade, enrichie par une belle grille en fer forgé, possède une propre élégance de formes simples.
Le préau est de forme demi-circulaire toutes en style rococo. Un total de vingt-trois loges qui, jusqu’à la fin du 19ème siècle accueillaient les foires organisées en occasion des fêtes religieuses, au début du vingtième siècle les loges furent fermées et utilisées comme boutiques.
Aujourd’hui elles ont été soumises à une restauration conservative.
Eglise catholique de Santissima Annunziata.
Facade et tour de l’église qui a aussi connu le tremblement de terre.
Reconstruction: La première pierre de la nouvelle église a été posée le 21 Octobre 1703 et les travaux ont duré plus de 15 ans, non stop!
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Ispica Palazzo Cav Antonino Bruno
Sur la nouvelle place de l’Italie, nous trouvons le bâtiment avec son identité archaïque d’un vrai château, se distinguant dans le paysage urbain. Bâtiment Bruno (Liberty) et la Tour de l’Horloge (la période fasciste).
Depuis la ville, vous pourrez rejoindre le Parc Archéologique de la Forza. A pied cela se fait bien, avec une très bonne signalisation.
Le Parc de la Forza est une zone archéologique qui permet de découvrir les beautés de la carrière et l’histoire d’Ispica médiévale. Plusieurs vestiges archéologiques témoignent que Ispica était habitée depuis l’époque romaine tardive, un certain nombre de maisons troglodytiques ont été habitées depuis les temps préhistoriques jusqu’au XIXe siècle,
Un intéressant “Moulin à eau” de la première moitié du XVIIIème siècle, appelé «Cavallo d’Ispica», visitable à l’intérieur du parc, a fait revivre de vieux souvenirs.
Donnalucata
Petite station balnéaire, Donnalucata est renommée dans la région pour ses 2 belles étendues de sable blanc.
Les plages sont accessibles directement dans la ville, que ce soit du côté des commerces ou du côté de la résidence « lido ». Belle balade sur la longue promenade de bord de mer, ponctuée de palmiers.
Toujours quelques pécheurs sur le trajets … avec les chats ! ou est ce un chat pécheur?
Scicli
Ville très charmante avec de belles rues où il est agréable de se promener, elle possède beaucoup de cachet et conserve de beaux monuments.
Scicli se trouve dans une gorge, à seulement quelques kilomètres des longues plages de sable de Sampieri et Donnalucata, et est dominée par une imposante masse rocheuse sur laquelle se dresse l’église de San Mateo. (Chiesa di San Matteo)
Le symbole de la ville: L’église Saint Mathieu était la cathédrale de la ville jusqu’en 1874. Le bâtiment est laissé à l’abandon, et se dégrade beaucoup. Cette église désaffectée est entourée de ruines et des vestiges de l’ancienne Scicli, mais sur sa façade on peut encore apprécier la richesse de la décoration.
Elle était dédiée à l’apôtre Saint Matthieu, saint patron de la ville ancienne et protectrice des marins.
La ville d’Ispica fut reconstruite pendant le dix-huitième siècle après le tremblement de terre de 1693.
Vue générale sue Scicli depuis la Cathédrale San Matteo.
Passage par de petites rues pour aller jusqu’en haut..
Superbes paysages depuis ces hauteurs, magnifiques vues sur toute la ville.
Les principaux intérêts de la ville sont la Chiesa del Carmine à Piazza Busacca et la Chiesa di Santa Maria la Nova. D´autres églises, comme la Chiesa Madre Sant’Ignazio et la Chiesa di San Bartolomeo valent également une visite.
Chiesa San Bartolomeo avec les enfants.
Encore une église parmi les dizaines que compte cette petite ville, avant de passer à l’architecture civile.
Difficile à comprendre : de toutes les églises de Scicli, une seule a résisté au tremblement de terre de 1693. Une seule et unique. C’est San Bartolomeo, édifiée dans les premières années du quinzième siècle.
Merveilleux! Miraculeux!
Chiesa Madre de San Ignazio ( date de 1751).
Cette nouvelle église Mère dédiée à San Ignazio s’intègre bien dans l’ensemble de la ville, mais marque le passage du baroque tardif au néoclassique.
Elle a hérité de ce transfert de « Eglise Mère », depuis 1874, en provenance de San Matteo.
Le baroque a apporté à la ville le privilège d’être reconnu comme un site du patrimoine mondial de l’UNESCO.
LA SICILE:
La Sicile est la plus grande île italienne. Séparée du continent par le détroit de Messine, elle est baignée par la mer Ionienne, la mer Tyrrhénienne et la Méditerranée.
Notre semaine sera sur cette partie sud Baroque de Sicile, pour avoir une vue générale de cette région. Cette partie de Sicile a de nombreux atouts et tant de sites à visiter !!
Pour le Tremblement de terre en 1693, sujet qui revient dans la plupart de nos visites citadines:
Huit villes du sud-est de la Sicile (Caltagirone, Militello Val di Catania, Catane, Modica, Noto, Palazzolo, Raguse et Scicli) ont toutes été reconstruites, sur leur implantation d’origine ou à proximité suite au terrible tremblement de 1693. Ces reconstructions furent une aventure démesurée pour l’époque et ne fut possible que grâce à la mobilisation de toute la population.
Scicli est l’une de ces huit villes complètement rasées par le terrible tremblement de terre du 11 janvier 1693. Ce jour-là, à 13h30, une secousse de l’exceptionnelle amplitude de 11 sur l’échelle de Richter a détruit 25 villes et villages sur 5600 kilomètres carrés, a provoqué un raz de marée, a tué plus de trente neuf mille personnes.
De style baroque tardif, ces reconstructions sont marquées par des innovations dans le domaine de l’urbanisme et de l’architecture.
La résidence: Au top …tout équipé, mais serait nettement mieux dans une autre période de l’année. Vu avec les siciliens, il est préférable de revenir en mai/juin ou septembre/octobre.
Un coin de paradis à 2km de la mer … mais le passage pour la plage … était bouché !
Les routes: en cette période … elles ne sont pas toujours en très bon état. Autoroute gratuite à ce jour. Les stations de péages sont en construction!
Les activités en dehors du tourisme:
Au sud de Noto, (voir photos plus haut, près de Pachino), les serres abondent aux abords des routes et à perte de vue!
Les serres brillent comme la surface de la mer, un tapis en plastique translucide, composé d’éléments répétitifs.
Les tomates cultivées dans les environs de ce triangle baroque ont leur propre appellation d’origine contrôlée. Les tomates cerises Pachino ont un goût agréablement sucré. Nous pouvons voir au quotidien des « tracteurs » sortir des serres chargés de tomates.
Cette région exploite également les vignes et les agrumes, mais aussi les fraises, les amandes et les olives.
La pêche est l’un des secteurs d’activité les plus vivants de l’île (4 ports importants dans ce sud baroque): Raguza, Pozzallo, Marzamemi et Syracuse.
Le complexe d’Augusta, (entre Catane et Syracuse) qui raffine du pétrole et produit du carburant sans plomb, est l’un des plus importants d’Europe.
Semaine très sympathique en Sicile, beaucoup de visite très intéressantes, de splendides palais et cathédrales, de belles plages, des réserves naturelles en bord de plage.
Une moyenne de 10km de marche par jour.
Aucun décalage horaire avec la France, mais il fait nuit bien plus tôt. (~de 16h45 à notre saison)
2 réponses à La Sicile